Telle est l’objection de Kalufay Soleil, Secrétaire Général du Groupe de Réflexion pour plaider la cause des Blancs (Belge et tous les autres occidentaux) en République démocratique du Congo, dénommée ; «GUERRE DES ETOILES», GET en sigle.
Avec la tenue des concertations dernières entre Congolais à Kinshasa, l’occasion a été donnée à Kalufay Soleil de rompre le silence face au spectre d’échec quant à voir les résolutions de ces assises se traduire dans les faits.
Pour en avoir le cœur net, il invite chacun à gratter le palmarès des retombées concernant non seulement la crise récurrente des conflits armés dans l’Est de la Rd Congo, mais aussi la crise de légitimité à l’issue des élections, sans oublier le déficit de bonne gouvernance, au terme de l’application des résolutions de forums antérieurs, notamment le Dialogue intercongolais de Sun City en Afrique du Sud en 2002. Certes, le succès a été mitigé, estime le secrétaire général qui invite le Chef de l’Etat Joseph Kabila à ne pas continuer sur cette lancée à se voiler la vérité en face. Ce dernier est appelé à fixer le Dialogue-Concertations entre congolais autour d’un seul point : « l’Article 10 de la Constitution portant Nationalité Congolaise ».
Pour Kalufay Soleil qui vient de parachever un livre à paraître bientôt à ce propos, les rendez-vous manqués s’agissant des résultats des pourparlers entre congolais n’est pas un fait du hasard.
Il s’avère que depuis 1960, les Congolais cherchent à développer la RDC comme un médecin qui soigne un patient sans avoir fait le diagnostic préalable, qui détermine l’agent causal des maladies à traiter, entre autres, la mauvaise gouvernance, la corruption, les rébellions et différentes formes de guerres armées, la crise de légitimité des dirigeants après l’organisation des élections.
Alors, un dialogue s’impose !
Du diagnostic
Selon Kalufay Soleil, le diagnostic établit que l’onde de choc du mal congolais proviendrait de la séparation bâclée entre Belges et Congolais à l’indépendance de la Rd Congo en 1960. D’aucuns ignorent que les Congolais avaient opposé un refus cinglant aux Belges et autres Occidentaux qui vivaient au Congo de rester sur le sol congolais, avec le statut des Congolais qui plus est, les Congolais avaient rejeté le plan de trente ans de Van Bulsen, afin de préparer les Congolais à intérioriser les acquis de l’indépendance.
Telle une fille que les parents préparent au mariage, estimaient les Belges.
Les Congolais s’étaient évalués déjà matures qu’ils n’attendaient plus rien de personne au monde concernant les conseils quant à la gestion de la chose publique.
Encore moins des Belges qui leur avaient tout appris jusqu’à nouer la cravate …
Comme tout parent jaloux de son prestige de géniteur, les Belges aigris ne pouvaient que s’employer à tout compromettre en amont auprès de leurs compères Occidentaux.
S’installa alors la politique de terre brûlée dans les relations entre Belges et Congolais.
Le temps, pour ces derniers, de prendre conscience pour réparation. Tel l’enfant prodigue de la Bible.
Et le concours des circonstances aidant, l’ouverture du challenge à la Maison Blanche, même aux Noirs, cinquante ans après l’assassinat de Martin Luther King à cet effet, avec la réélection de Barack Obama à la Présidence des Usa, est un mea Culpa des Américains qui doit servir de leçon aux Congolais pour imaginer, cinquante ans après l’indépendance, la nature de réparation qu’il faut pour leur bien-être.
Ce qui n’est autre, a relevé Kalufay Soleil, que la restauration de la nationalité congolaise aux Belges et tous les autres Occidentaux, comme ces derniers l’entendaient au plus fort des atrocités de l’indépendance.
Et la fin de l’aventure du M23 n’est qu’à la portée de la main, à ce prix, précise Kalufay Soleil.
Est-ce facile cinquante ans après une pareille initiative, de proclamer le retour sur le sol congolais, de tous les concernés (Belges et tous les autres occidentaux identifiés en tant que tels avant 1960. C’est à compter aussi avec ceux qui en exprimeraient actuellement le désir) ?
Kalufay Soleil reste persuadé que cette opération n’est pas toutefois impossible quand bien même laborieuse.
C’est une question de courage politique. Le cours des événements voudrait que les Congolais fassent un pareil dévouement à notre époque enrichie de pérégrinations dans la gestion de la res publica, au terme de cinquante ans d’indépendance.
Comme la sérénité de la superpuissance au monde des Usa a prévalu au bannissement de la stigmatisation raciale entre Américains, l’Article 10 de la constitution congolaise doit constituer désormais un sujet devant faire l’objet d’études approfondies, pour le bien-être des Congolais et surtout la paix dans l’Est de la RD Congo. Le reste, notamment les résolutions des concertations dernières entre Congolais à Kinshasa, n’est que du déjà entendu, mais sans impact escompté dans la vie du peuple Congolais, poursuit Kalufay Soleil.
Cependant, la cause du mal congolais ayant été diagnostiquée, ne reste plus qu’à trouver une technique pour rendre possible la thérapie.
De la technique
Selon Kalufay Soleil, l’application à la lettre de l’esprit de l’Article 10 de la Constitution portant Nationalité Congolaise, s’avère la thérapie qui convienne à tous les maux dont souffre le peuple congolais.
En-soi, le fameux Article 10 stipule comme quoi : « Est congolais d’origine, toute personne appartenant aux groupes ethniques dont les personnes et le territoire constituaient ce qui est devenu le Congo (présentement République Démocratique du Congo) à l’indépendance ».
Telles quelle (loi), tous les Belges et autres Occidentaux qui vivaient sur le sol congolais avant 1960 étaient des Congolais de race (ethnie) blanche.
C’est comme les Boers-Blancs de l’Afrique du Sud après l’indépendance du pays de Nelson Mandela.
C’est même à cette compréhension d’abord que doivent arriver les Congolais et le Président Joseph Kabila. Ce, avant de convoquer le dialogue entre congolais, du genre des concertations tenues dernièrement à Kinshasa. C’est en effet le seul sujet à inscrire au menu des concertations entre Congolais. C’est en fait le 6ème chantier de Joseph Kabila, à même de changer réellement la vie du peuple et laisser les marques indélébiles de son passage au pouvoir en Rd Congo comme nul autre avant lui. Les cinq premiers chantiers ne sont que ce placebo qui ne va rien résoudre concernant la situation du peuple congolais, argue Kalufay Soleil sans peur d’être contredit.
Autant dire que les thématiques retenues à ce dernier forum n’ont été que la partie visible de l’Iceberg dont les résolutions n’auront pas à changer, à la hauteur attendue, la solution du peuple congolais, les mêmes causes produisant les mêmes effets.
Ce qui est dit sur la RD Congo, l’est de même pour toute l’Afrique et le Tiers monde en général.
Ainsi, s’accompliraient les prédictions de Simon Kimbangu, concernant l’égalité des droits entre Blancs et Noirs, quand il avait dit : « Les Noirs deviendraient comme les Blancs et vice-versa ».
Qui plus est, confirmerait le dessein de Dieu sur la RD Congo, d’Etat locomotive en Afrique.
N’est-ce pas à ce titre que Franz Fanon a dit : « L’Afrique à la forme d’un revolver dont la gâchette (se trouve) est placée au Congo ». « La libération-développement du Congo donne la possibilité à tous les autres pays d’Afrique de pouvoir enfin se développer », a dit Laurent Désiré Kabila.
C’est au Chef de l’Etat Joseph Kabila, au Représentant du Secrétaire Général de l’Onu en Rd Congo, aux Missions diplomatiques accréditées en Rd Congo d’étudier les conditions et possibilités de faire la paix dans l’Est de la Rd Congo au travers de cet Article 10. Quant aux confessions religieuses et surtout Kimbanguistes, elles sont exhortées à s’approprier l’application dudit Article. Il y va de la restitution de Simon Kimbangu dans ses droits de prophète du bien-être du peuple congolais, pour la paix en Afrique et dans le monde, conclut Kalufay Soleil.
Avec la tenue des concertations dernières entre Congolais à Kinshasa, l’occasion a été donnée à Kalufay Soleil de rompre le silence face au spectre d’échec quant à voir les résolutions de ces assises se traduire dans les faits.
Pour en avoir le cœur net, il invite chacun à gratter le palmarès des retombées concernant non seulement la crise récurrente des conflits armés dans l’Est de la Rd Congo, mais aussi la crise de légitimité à l’issue des élections, sans oublier le déficit de bonne gouvernance, au terme de l’application des résolutions de forums antérieurs, notamment le Dialogue intercongolais de Sun City en Afrique du Sud en 2002. Certes, le succès a été mitigé, estime le secrétaire général qui invite le Chef de l’Etat Joseph Kabila à ne pas continuer sur cette lancée à se voiler la vérité en face. Ce dernier est appelé à fixer le Dialogue-Concertations entre congolais autour d’un seul point : « l’Article 10 de la Constitution portant Nationalité Congolaise ».
Pour Kalufay Soleil qui vient de parachever un livre à paraître bientôt à ce propos, les rendez-vous manqués s’agissant des résultats des pourparlers entre congolais n’est pas un fait du hasard.
Il s’avère que depuis 1960, les Congolais cherchent à développer la RDC comme un médecin qui soigne un patient sans avoir fait le diagnostic préalable, qui détermine l’agent causal des maladies à traiter, entre autres, la mauvaise gouvernance, la corruption, les rébellions et différentes formes de guerres armées, la crise de légitimité des dirigeants après l’organisation des élections.
Alors, un dialogue s’impose !
Du diagnostic
Selon Kalufay Soleil, le diagnostic établit que l’onde de choc du mal congolais proviendrait de la séparation bâclée entre Belges et Congolais à l’indépendance de la Rd Congo en 1960. D’aucuns ignorent que les Congolais avaient opposé un refus cinglant aux Belges et autres Occidentaux qui vivaient au Congo de rester sur le sol congolais, avec le statut des Congolais qui plus est, les Congolais avaient rejeté le plan de trente ans de Van Bulsen, afin de préparer les Congolais à intérioriser les acquis de l’indépendance.
Telle une fille que les parents préparent au mariage, estimaient les Belges.
Les Congolais s’étaient évalués déjà matures qu’ils n’attendaient plus rien de personne au monde concernant les conseils quant à la gestion de la chose publique.
Encore moins des Belges qui leur avaient tout appris jusqu’à nouer la cravate …
Comme tout parent jaloux de son prestige de géniteur, les Belges aigris ne pouvaient que s’employer à tout compromettre en amont auprès de leurs compères Occidentaux.
S’installa alors la politique de terre brûlée dans les relations entre Belges et Congolais.
Le temps, pour ces derniers, de prendre conscience pour réparation. Tel l’enfant prodigue de la Bible.
Et le concours des circonstances aidant, l’ouverture du challenge à la Maison Blanche, même aux Noirs, cinquante ans après l’assassinat de Martin Luther King à cet effet, avec la réélection de Barack Obama à la Présidence des Usa, est un mea Culpa des Américains qui doit servir de leçon aux Congolais pour imaginer, cinquante ans après l’indépendance, la nature de réparation qu’il faut pour leur bien-être.
Ce qui n’est autre, a relevé Kalufay Soleil, que la restauration de la nationalité congolaise aux Belges et tous les autres Occidentaux, comme ces derniers l’entendaient au plus fort des atrocités de l’indépendance.
Et la fin de l’aventure du M23 n’est qu’à la portée de la main, à ce prix, précise Kalufay Soleil.
Est-ce facile cinquante ans après une pareille initiative, de proclamer le retour sur le sol congolais, de tous les concernés (Belges et tous les autres occidentaux identifiés en tant que tels avant 1960. C’est à compter aussi avec ceux qui en exprimeraient actuellement le désir) ?
Kalufay Soleil reste persuadé que cette opération n’est pas toutefois impossible quand bien même laborieuse.
C’est une question de courage politique. Le cours des événements voudrait que les Congolais fassent un pareil dévouement à notre époque enrichie de pérégrinations dans la gestion de la res publica, au terme de cinquante ans d’indépendance.
Comme la sérénité de la superpuissance au monde des Usa a prévalu au bannissement de la stigmatisation raciale entre Américains, l’Article 10 de la constitution congolaise doit constituer désormais un sujet devant faire l’objet d’études approfondies, pour le bien-être des Congolais et surtout la paix dans l’Est de la RD Congo. Le reste, notamment les résolutions des concertations dernières entre Congolais à Kinshasa, n’est que du déjà entendu, mais sans impact escompté dans la vie du peuple Congolais, poursuit Kalufay Soleil.
Cependant, la cause du mal congolais ayant été diagnostiquée, ne reste plus qu’à trouver une technique pour rendre possible la thérapie.
De la technique
Selon Kalufay Soleil, l’application à la lettre de l’esprit de l’Article 10 de la Constitution portant Nationalité Congolaise, s’avère la thérapie qui convienne à tous les maux dont souffre le peuple congolais.
En-soi, le fameux Article 10 stipule comme quoi : « Est congolais d’origine, toute personne appartenant aux groupes ethniques dont les personnes et le territoire constituaient ce qui est devenu le Congo (présentement République Démocratique du Congo) à l’indépendance ».
Telles quelle (loi), tous les Belges et autres Occidentaux qui vivaient sur le sol congolais avant 1960 étaient des Congolais de race (ethnie) blanche.
C’est comme les Boers-Blancs de l’Afrique du Sud après l’indépendance du pays de Nelson Mandela.
C’est même à cette compréhension d’abord que doivent arriver les Congolais et le Président Joseph Kabila. Ce, avant de convoquer le dialogue entre congolais, du genre des concertations tenues dernièrement à Kinshasa. C’est en effet le seul sujet à inscrire au menu des concertations entre Congolais. C’est en fait le 6ème chantier de Joseph Kabila, à même de changer réellement la vie du peuple et laisser les marques indélébiles de son passage au pouvoir en Rd Congo comme nul autre avant lui. Les cinq premiers chantiers ne sont que ce placebo qui ne va rien résoudre concernant la situation du peuple congolais, argue Kalufay Soleil sans peur d’être contredit.
Autant dire que les thématiques retenues à ce dernier forum n’ont été que la partie visible de l’Iceberg dont les résolutions n’auront pas à changer, à la hauteur attendue, la solution du peuple congolais, les mêmes causes produisant les mêmes effets.
Ce qui est dit sur la RD Congo, l’est de même pour toute l’Afrique et le Tiers monde en général.
Ainsi, s’accompliraient les prédictions de Simon Kimbangu, concernant l’égalité des droits entre Blancs et Noirs, quand il avait dit : « Les Noirs deviendraient comme les Blancs et vice-versa ».
Qui plus est, confirmerait le dessein de Dieu sur la RD Congo, d’Etat locomotive en Afrique.
N’est-ce pas à ce titre que Franz Fanon a dit : « L’Afrique à la forme d’un revolver dont la gâchette (se trouve) est placée au Congo ». « La libération-développement du Congo donne la possibilité à tous les autres pays d’Afrique de pouvoir enfin se développer », a dit Laurent Désiré Kabila.
C’est au Chef de l’Etat Joseph Kabila, au Représentant du Secrétaire Général de l’Onu en Rd Congo, aux Missions diplomatiques accréditées en Rd Congo d’étudier les conditions et possibilités de faire la paix dans l’Est de la Rd Congo au travers de cet Article 10. Quant aux confessions religieuses et surtout Kimbanguistes, elles sont exhortées à s’approprier l’application dudit Article. Il y va de la restitution de Simon Kimbangu dans ses droits de prophète du bien-être du peuple congolais, pour la paix en Afrique et dans le monde, conclut Kalufay Soleil.
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