Quelle mouche a piqué Papitcho Olenga d'aller vers cette casse gueule organisée par Henri MOVA, l'ennemi du combat et des congolais, le vrai suppôt de l'occupation rwando-ougandais, un criminel avéré ?
Quelle a été la motivation et l'intérêt de Papitcho Olenga d'aller se fourvoyer dans un endroit où tout étant boutiqué d'avance par ceux qui veulent la mort et la partition de la RDC ?
D'après les éléments, inhérents à cette décision contestée et désavouée par ceux qui se battent pour le vrai combat. Papitcho Olenga avait promis en jurant sur ses grands dieux, qu'il n'assisterait en aucune manière à cette mise en scène orchestrée par le « tollier » de l'ambassade de la RDC au Bénelux, le fourbe et impétueux fan de Kabila, Mova SAKANI, qui utilise cette officine ( sa boutique ) pour faire la promotion de l'occupation...
Une question est dans toutes les lèvres, et qui taraude tout en chacun, et est de savoir, comment ce combattant « virulent » a pu obtenir cette invitation et l'accord de ces criminels à l'occurrence, l'ambassadeur de la RDC au Benelux, réfractaire au combat de la libération de la RDC des griffes de l'occupation, un ennemi juré de la diaspora combattante ?
Au regard des vidéos qui circulent sur le Net, sur l'action concertée organisation dès le chant du coq contre cette table ronde. Les combattants avaient pris possession de plusieurs artères Bruxelloises jouxtant le lieu dit, jouant au chat et à la souris avec la police.
Comment, Papitcho Olenga a pu déjoué tous ces barricades, surveillance des vaillants combattants pour y pénétrer dans cette citadelle protégée par les deniers des contribuables Congolais alloués à la police Belge pour casser du combattant ?
Et comment, a-t-il pu s'échapper à la vigilance des combattants pour rentrer bonnement chez lui en étant satisfait de son exploit ? Même s'il dit qu'il a rendu visite aux blessés de guerre. Ce n'est pas une visite messianique pour guérir ces profondes plaies provoquées par sa tartuferie. Il n'est simplement un Vicomte, pas un messie...
Quel exploit s'agit-il réellement !
D'avoir tout bonnement trompé la vigilance des combattants qui campaient et criant à tue tête (en anglais, at the top of one's ) aux alentours de la citadelle de MOVA, pour la promotion de celui qu'on appelle Joseph KABILA, de son vrai nom Hypolite KANAMBERE né des parents tutsi, comme Papitcho aime le dire et le nommer ? C'est rigolo !
Mova a réussi un coup de maître, subliminal, en synchronisation avec l'intervention de «Joseph KABILA» à Kinshasa et sa table ronde, en relais à Bruxelles pour une meilleure synergie sur la marche à vivre pour le prochain gouvernement d'union nationale qui propulsera KABILA jusqu'en 2022...
Un futur gouvernement qui pousse certains vers la forfaiture, la fourberie la compromission ! Non, plutôt à montrer leurs vrais visages de traîtres, pour aller à la mangeoire par le biais de ce que Henri MOVA a organisé comme recrutement de futurs cadres politiques de la nouvelle majorité du pouvoir d'occupation, puisque la liste est faite d'une part à Kinshasa, d'autre part dans des locaux de l'ambassade de la RDC à Bruxelles...
L'adage russe prend tout son sens en voyant les images de cette table ronde d'Henri MOVA qui dit ; le serpent change de peau, mais pas de nature...
Une motivation de participer à ces assises de Mova pour attirer l'attention de chasseurs de têtes, afin qu'ils soient sur la liste de ceux qui iront à la bassine comme les siens...
Ceux qui ont été ou ceux voulaient aller à cette mascarade (les concertations nationales), ils n'ont rien à envier à ceux qui ont participé à la mise en scène de MOVA à Bruxelles...
Le discours de Papitcho, ressemble, à toutes ses vidéos faites à cet effet, rien de nouveau ni d'intéressant dans ses répétitions ennuyeuses. J'ai répertorié au moins 26 de ses vidéos qui s'apparentent à s'y méprendre à son cinéma devant Henri MOVA, le ministre d'occupation délégué par Kabila à cet effet et des affidés, thuriféraires rampants, griots chanteurs et applaudisseurs payés pour la cause...
Quel intérêt d'aller se tremper dans cette compromission qui donne de l'eau dans le moulin de ceux qui disaient de lui qu'il était la taupe de Kabila via son frère du village, Lambert MENDE le vuvuzelateur ?
Il vient de donner raison également à ceux qui m'ont interpellé à Liège, à Bruxelles, à Paris pour me dire de n'est plus approcher ce monsieur qui fait semblant de se battre pour le Congo. Il serait d'après leurs dires, le vrai loup dans la bergerie avec ses connexions familiales et proximité avec le régime d'occupation qui, son frère de sang, député MP (PPRDISTE),t proche du pouvoir, un pur jus Kabiliste. Un oncle qui mange le soir avec Kabila, sans vergogne. Sans parler de ses sœurs proches du pouvoir...Le bouquet !
On ose croire simplement à un accident de parcours, que son véhicule du combat déjà défaillant a perdu ses freins pour terminer sa course dans l'enclos de MOVA par inadvertance...Il est tout simplement contredit par le proverbe arabe qui dit : Qui veut aller loin ménage sa monture...
Que dire, de ce qui ont prêté attention à un autre imposteur, Kwebe KIMPELE sur ses allégations à l'encontre de ce même Papitcho Olenga ?
D’ailleurs, ce même Kwebe KIMPELE avide du pouvoir en voulant à tout prix prendre son dernier train, au regard de son âge, devient ministre de pacotille d'une nébuleuse CCT en attendant son éventuelle nomination dans le prochain gouvernement de transition qui pousserait Kabila d'aller vers un nouveau mandat après cette future transition maquillée en gouvernement d'union nationale.
En contournant joyeusement, l'article 220 de la constitution avec l'aide des gens comme ceux qui ont participé aux assises de MOVA, les concertions nationales, j'en passe...
Papitcho Olenga a prêté le flanc à ceux qui voyaient en lui, un vrai comédien qui remporterait la palme d'or d'arlequinade dans le combat de la libération de la patrie en danger.
Je viens d'avaler mon chapeau à propos de Papitcho Olenga, que j'avais soutenu naïvement contre les propos de Kwebe KIMPELE. Les combattants de Liège doivent s'interroger sur cette bourde énorme contre le combat, en fricotant avec le diable.
Rétrospectivement, ils doivent s'interroger comment rectifier la tir pour n'est pas s'attirer la foudre de toute la diaspora... Et lorsqu'on mange avec le diable même avec une longue cuillère, on risque de se brûler les ailes...
Voila, le feu, et qui sera le pompier ou qui sera le pyromane pour allumer un autre foyer Olenga ?
Il vient de stopper son « vaillant combat » en laissant ses compatriotes, patriotes, résistants, combattants dans la nasse de la police belge, recevant de surcroît, des coups et matraques. Ensanglantés par la maltraitance de cette police à la triste réputation, sombre et raciste.
Quant à ce combattant jusqu'à la mort (sic) , au chaud avec son café, croissants et jus d'orange avec les bourreaux de combattants, c'est pathétique...
Pourquoi a-t-il, dans une démarche isolé, provoqué cette fronde contre lui, venant de l'ensemble de la diaspora ?
Encore cette interrogation ! Pourquoi avoir d'avoir changé d'avis après une discussion nuitamment avec les siens ( combattants) ? Quelle a été sa motivation et ce revirement brusque ? Aujourd’hui, les réseaux sociaux pointent du doigt, celui qui devient le nouveau Rex Kazadi ! Un vrai pestiféré....Il rentrerait le club très fermé de fourbes dans le combat....
Il rejoint et grossi les rangs de ceux qui sont marqués par le fer rouge, de par leur traîtrise et faillite comportementale et morale...Les concentrateurs, les amis de Mova (sa table ronde) et Cie !
La table ronde d'Henri MOVA, a eu le seul mérite de faire tourner les combattants en rond, surtout ceux qui ont trahi la cause...
Tant que les congolais de la diaspora ne perleront pas d'une seule voix, on assistera à cette cacophonique, à ces tares identitaires, idéologiques, culturelles, et nous serions amener à vivre ces souffrances qui nous montrent que ce combat n'a pas atteint une certaine maturité requise...
Vicomte (noble dont le titre est immédiatement inférieur à celui de comte), a trahi le combat au profit de son comte, le quel de comte ? That is de the question...
Roger BONGOS
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